VOUSLISEZ. BAD BOY {je te Hais comme je T'aime} [JK][RÉÉCRITURE] Fanfiction « Je pensais le dĂ©tester mais j'ai ensuite compris que j'aurais simplement dĂ» chercher Ă  le dĂ©crypter. Jeune arrogant! Si je n'avais pas tuĂ© Dumbledore , vous seriez mort a l'heure qu'il est. - Je ne suis pas capable de tuer . Je n'y arrive ni aujourd'hui et je n'y arriverais jamais ; vous l'avez lu dans mes yeux. Le seigneur des tĂ©nĂšbres me demande la vie de Potter ou G r a ng e r, mais je n'y arriverais pas et n'en ai aucunement la volontĂ©. Seemore of Je T'aime Mais Je Te hais". on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Je T'aime Mais Je Te hais". on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Community See All. 23 people like this. 23 people follow this. About See All. Contact Je T'aime Mais Je Te hais". on Messenger Jen’utilise ici donc que la mĂ©lodie mais elle est chantĂ©e sur le mĂȘme rythme. Voici ses paroles : Maladie comme tu m’affectes D’ailleurs sans aucun trucage Cette Ă©pĂ©e au dessus d’ma tĂȘte Et mon crĂąne qui veut faire barrage . Ce qui me gĂȘne, c’est toi Vilaine C’est toi-mĂȘme, toi-mĂȘme, plus que malsaine Oh ma route, cette arĂšne Quelle phĂ©nomĂšne Et tourments Jt’aime, j’t’aime Je peux plus connaĂźtre le bonheur Quand il se taille ça fait mal C’est pire qu’une balle LĂ  je suis dĂ©chirĂ© de l’intĂ©rieur T’as passĂ© 9 ans de ma vie Ă  branler d’autres mecs En me faisant admettre que t’avait le front opposĂ© vers la Mecque Ton foulard n’a Auxendroits oĂč t'Ă©tais y'a des morceaux de glace. Am G D. Et des arbres en travers pour ne pas que je passe. E Am G F2 G/F Bb F E D. OĂč tu iras je te suivrai. Am G/B C. MĂȘme quand tu auras fermĂ© ta centaine de portes. G Dm. MĂȘme quand t'auras pleurĂ© pour Titre: Je te hais - Peter Sunson; AnnĂ©e : 2008; Paroles : Je n'aime pas ces regards froids,que tu me jette,qui me blesse, je n'aime pas ça cigarette,tout c'est romans que tu lis, Je n'aime pas que tu sois loin,et encore moins quand tu est ivre, Que tu me dise ce qu'on m'a dit,qu'a t'a pas ta place dans ma vie Tu te trompe Jete hais de me haĂŻr, et je t'aime de ma le dire, De me pousser si fort, Quand je te tends la main, Et je te hais que tu me hais, et je t'aime que tu m'aime, Ta folie me fais rire, Mais tu vois pas la mienne.. Quand tu m'aime. J'ai froid que mes mains tremblent, c'est que la chaleur me manque, et moi je l'ai fait ! Je te hais de me haĂŻr, Jet'aime et je te hais Je dĂ©teste t'aimer Je ne veux pas mais je ne sais pas Aimer un autre que toi Je t'aime et je te hais Je dĂ©teste t'aimer Tu la trouves si belle Mais je ne serai jamais elle Tu me manques et je ne dors pas Juste aprĂ©s un cafĂ© quand je ne peux plus manger Tu me manques et tu n'es pas la TOP10 des citations je t'adore (de cĂ©lĂ©britĂ©s, de films ou d'internautes) et proverbes je t'adore classĂ©s par auteur, thĂ©matique, nationalitĂ© et par culture. Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases je t'adore, les plus grandes maximes je t'adore, les plus belles pensĂ©es je t'adore provenant d'extraits de livres, magazines, discours ou d'interviews, rĂ©pliques de I6Yc. 20 minutesCes derniers temps j’ai recommencĂ© Ă  beaucoup traĂźner sur Twitter. A une Ă©poque je ne jurais que par ce rĂ©seau. Il me permettait de faire entendre mes prises de positions socio-politiques. J’ai cessĂ© de tweeter lorsque je me suis retirĂ©e de l’activisme politique, Ă©pisode dĂ©taillĂ© dans cet article. Aujourd’hui je suis sur Twitter en mode sous-marin. Je lis, je like, je retweete parfois, mais je m’exprime trĂšs peu. Twitter est pour moi une espĂšce de vitrine de la sociĂ©tĂ©. C’est une source riche d’informations quand on Ă©crit sur l’humain et/ou la sociĂ©tĂ©. GrĂące Ă  Twitter je sais quels sont les sujets chauds du moment, ce que les gens pensent et surtout ce qu’ils osent dire. Un sujet en particulier revient souvent la violence physique, verbale et/ou psychologique au sein des couples. Que feriez-vous si votre homme vous giflait ? Quand faut-il partir ? Que doit faire un homme si une femme se comporte de telle ou telle façon ? Quels sont les signes annonciateurs des abus au sein des couples ? Chacun y va de son avis et les dĂ©bats sont souvent trĂšs animĂ©s. Une chose m’a frappĂ©e par contre. La violence semble n’exister qu’au sein des couples. Elle semble ne naĂźtre que lorsqu’on est en couple. Elle vient de nulle part, et vlan, on reçoit la premiĂšre gifle. Bon, j’exagĂšre. Des insultes et des menaces prĂ©cĂšdent trĂšs souvent cette gifle. Sauf que ces injures et ces menaces viennent
 de nulle part. Quasiment personne ne s’intĂ©resse aux violences verbales, physiques et psychologiques au sein des familles. Par famille j’entends pĂšre, mĂšre, frĂšres, sƓurs, oncles, tantes, cousins, cousines. Le mot d’ordre sous nos cieux est l’omerta. On ne critique pas nĂ©gativement sa famille. On ne questionne pas les agissements de ses parents. On n’a aucune lĂ©gitimitĂ© en tant qu’individu. On n’est que ce que la famille veut bien faire de nous. On encaisse les coups venus d’en haut parents, aĂźnĂ©s, et on rend la pareille Ă  ceux Ă  notre niveau ou au niveau infĂ©rieur ceux du mĂȘme Ăąge que nous ou plus jeunes. Le cercle est sans fin. Je l’ai dit dans l’article Famille et communication shut up je viens d’une famille oĂč on ne savait pas se parler si ce n’était pour se moquer les uns des autres. Toute action diffĂ©rente Ă©tait ridiculisĂ©e. Toute envie diffĂ©rente Ă©tait risible. Tout malheur Ă©tait sujet de raillerie. La compassion existait, mais elle tenait la main aux Ă©clats de rire qui parfois l’annulaient complĂštement. Je n’avais pas d’autre moyen de communication que la moquerie. Sans le savoir, j’étais mĂ©chante gratuitement. Et je rendais les gens autour de moi mĂ©chants. Sans le savoir, j’avais beaucoup d’influence sur mes amis trĂšs proches qui, sans s’en rendre compte, adoptaient mon comportement. La premiĂšre fois que cela m’a frappĂ©e Ă©tait Ă  l’universitĂ©. Je me suis retrouvĂ©e Ă  discuter avec l’amie proche d’une amie proche. Elle et moi ne nous frĂ©quentions quasiment pas, mais j’avais l’impression d’ĂȘtre face Ă  un miroir. Mes intonations, mes expressions favorites, les mots que j’utilisais pour passer de la discussion Ă  la moquerie
 Elle les avait faits siens. Mon amie et moi passions tellement de temps ensemble que je n’avais pas rĂ©alisĂ© que je l’avais infectĂ©e. Et Ă  son tour elle infectait son entourage. Tout est parti de ma dynamique familiale. A cette Ă©poque-lĂ  je ne le savais pas, et je n’avais aucune intention de me pencher sur la question. Ma conclusion Ă  ce moment-lĂ  ? Mais cette meuf n’a aucune personnalitĂ© si elle a besoin d’ĂȘtre moi pour exister ! » La bĂȘtise dans toute sa splendeur. Ma niĂšce avait 2 ans la premiĂšre fois oĂč j’ai failli la fracasser. Et le mot est faible. Mon envie de la bastonner Ă©tait tellement forte que j’ai dĂ» sortir de la maison pour m’assurer de ne pas la toucher. Elle avait fait une bĂȘtise en rapport avec des coussins je pense. En rĂ©alitĂ© je ne m’en souviens plus vraiment. Ce dont je me souviens clairement c’est la rage en moi. Elle devait ĂȘtre battue. Sa faute Ă©tait impardonnable. Je devais la battre. J’ai Ă©tĂ© freinĂ©e par le questionnement dans ses yeux. Elle n’avait pas conscience de ce qu’elle avait fait et ne comprenait pas pourquoi je lui criais dessus. Elle comprenait encore moins cette rage noire qui me faisait bĂ©gayer de maniĂšre effrayante. Oui, je bĂ©gaie naturellement, et quand je m’énerve ce n’est pas beau Ă  voir. Mais nous y reviendrons si je ne digresse pas trop. Ma niĂšce devait ĂȘtre battue. J’ai Ă©tĂ© un enfant battu. Je le dis parfois en rigolant, mais aujourd’hui je dois me l’avouer parce que c’est vrai. Ma mĂšre me frappait quand elle Ă©tait excĂ©dĂ©e, ce qui n’arrivait pas souvent. Elle avait d’autres formes de punition. Lorsque nous Ă©voquons nos souvenirs de mon pĂšre que j’adore soit dit en passant, nous parlons plus de la terreur qu’il nous inspirait. Sa seule aura changeait la tempĂ©rature de la salle. Il nous faisait peur. Je ne saurais le dire autrement. Mon frĂšre et moi Ă©tions des tam-tams. Aucune faute ne nous Ă©tait pardonnĂ©e. En rĂ©alitĂ© aucune faute n’était pardonnĂ©e Ă  qui que ce soit, sauf que notre chĂątiment Ă  tous les deux Ă©tait diffĂ©rent. DiffĂ©rent dans la forme, mais pas forcĂ©ment dans le fond. Le traumatisme restait prĂ©sent. J’explique. Mon pĂšre a une intelligence supĂ©rieure, et je le dis sans me vanter. Dans le but de nous apprendre Ă  rĂ©flĂ©chir, il nous tendait des piĂšges mentaux qui nous faisaient vivre dans une terreur psychotique extrĂȘme. Toute question posĂ©e par lui nous faisait tellement paniquer que nous en perdions nos mots. Un simple repas Ă  table se transformait en quizz sur chaque Ă©lĂ©ment posĂ© sur la table, et toute mauvaise rĂ©ponse Ă©tait durement sanctionnĂ©e. Tout film regardĂ© en famille perdait tout intĂ©rĂȘt une fois la derniĂšre scĂšne passĂ©e des questions pointues sur l’intrigue nous Ă©taient posĂ©es alors que nous n’avions pas 6 ans. Comment savoir pourquoi Derrick a dit ci ou ça Ă  son second Harry ? Mes yeux d’enfants se focalisaient sur autre chose. Les bagarres, les coiffures bizarres des femmes
 je comprenais Ă  peine les mots dits ! Autant que les moments sĂ©rieux », les moments de loisirs faisaient peur. Nous ne voulions plus regarder de film, nous ne voulions plus manger Ă  table mais avait-on le choix ?, et nous Ă©vitions par dessus tout de poser des questions. A propos de questions, une scĂšne ne me quitte pas. Plus ĂągĂ©e que nous, ma sƓur est entrĂ©e au collĂšge haut la main nous n’avions pas d’autre choix que d’ĂȘtre brillants. Une fois elle faisait ses devoirs, et mon frĂšre a jetĂ© un coup d’Ɠil dans ses cahiers. C’est quoi ça ? » a-t-il demandĂ©. C’est x » a-t-elle rĂ©pondu. C’est quoi x ? » Je ne me souviens plus trĂšs bien de sa rĂ©ponse. Toujours est-il que mon frĂšre, du haut de ses 6 ans, est allĂ© poser la question Ă  mon pĂšre. Erreur. Mon pĂšre avait une sainte horreur de se rĂ©pĂ©ter. Tout comme il avait une sainte horreur de l’ignorance. Il n’expliquait jamais Ă  une seule personne, tout le monde devait ĂȘtre au mĂȘme niveau d’information. Vas chercher ta sƓur » a Ă©tĂ© sa rĂ©ponse. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je suis plus jeune que mon frĂšre. C’est la peur au ventre que nous nous sommes assis face Ă  lui. Il nous a offert ce soir-lĂ  des cahiers neufs et pendant des heures, nous avons fait des mathĂ©matiques. Des heures. Nous devions comprendre comment trouver x. Je savais Ă  peine faire des divisions. Nous avons fini par comprendre. Et j’ai ainsi Ă©tĂ© dĂ©goĂ»tĂ©e des mathĂ©matiques toute ma vie. Cette terreur s’est transformĂ©e au fil du temps. Elle est sortie du cadre familial. Toute question posĂ©e me faisait paniquer. Et je n’en posais aucune par peur d’ĂȘtre rĂ©primandĂ©e pour mon manque de savoir. A la maison on n’en savait jamais assez. Mon pĂšre n’acceptait par exemple pas que nous ne sachions pas la dĂ©finition de certains mots, alors le dictionnaire trĂŽnait fiĂšrement sur la table du salon. Nous le consultions H24. Une question pouvait ĂȘtre posĂ©e Ă  tout moment. A l’école nous Ă©tions toujours parmi les plus brillants. Mais ce n’était jamais assez. On pouvait faire mieux, et nous Ă©tions tabassĂ©s pour nous le faire bien comprendre. Hors de question d’ĂȘtre 2e de la classe. C’était indigne. Le fait mĂȘme d’ĂȘtre premier Ă©tait parfois indigne. 18 de moyenne pourtant il est possible d’avoir 20
 Mon complexe d’infĂ©rioritĂ© est nĂ© de l’alliance entre la moquerie, la terreur psychologique et la bastonnade. Mon manque de tolĂ©rance face au manque de connaissances des gens autour de moi sur certains sujets que je maĂźtrise moi me vient Ă©galement de mon Ă©ducation. Selon les attitudes de mon pĂšre, nous Ă©tions tellement idiots que nous Ă©tions le niveau zĂ©ro de la connaissance. Il m’est donc difficile de comprendre que j’en sais plus que qui ce soit. Si je sais, alors tu sais. Je suis le niveau zĂ©ro de la connaissance. Ne nous mĂ©prenons pas, le but ici n’est pas de dire que mes parents ont fait un mauvais travail et qu’ils sont les pires parents de la terre. TrĂšs loin de lĂ . Leur but n’était pas de faire de moi une couarde. Leur objectif Ă©tait prĂ©cisĂ©ment le contraire, mais je ne l’ai compris qu’avec une certaine maturitĂ© et un certain dĂ©tachement. La moquerie endurcissait. La terreur psychologique affinait la rĂ©flexion. La bastonnade Ă©vitait la reproduction de certaines idioties. Les objectifs ne portaient en rien les gĂȘnes du mal. Sauf que
 OĂč qu’il aille, l’humain reproduit ce qu’il a connu. Ma sƓur me le disait trĂšs souvent, et je ne comprenais pas de quoi elle parlait. Nos parents ont fait de leur mieux, mais il y a beaucoup de choses que je ne tiens pas Ă  reproduire. » Je me suis installĂ©e chez ma sƓur alors que ma niĂšce avait 4 mois. La premiĂšre rĂšgle que je me suis imposĂ©e a Ă©tĂ© la suivante cette enfant ne sera jamais victime d’un double discours dans cette maison. J’étais en charge de son Ă©ducation comme tout adulte autour d’elle, mais les lignes directrices devaient venir de ses parents et personne d’autre. Je devais moi aussi baliser le chemin, mais les parents savaient mieux que moi ce qui Ă©tait mieux pour leur enfant. L’autre raison pour laquelle je n’ai pas fracassĂ© ma niĂšce le jour mentionnĂ© est que ses parents ne l’avaient jamais frappĂ©e. Pas de double discours. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai vĂ©cu dans une maison avec beaucoup d’adultes et d’aĂźnĂ©s. Chacun avait ses prĂ©fĂ©rences qui allaient parfois Ă  l’opposĂ© de celles des autres. Tonton tel a dit de faire ceci alors que Tata telle l’a interdit. Que faire ? Panique. Si je fais je serai grondĂ©e ou frappĂ©e. Si je ne fais pas je serai tout aussi bien grondĂ©e ou frappĂ©e. Nous vivions dans une peur panique perpĂ©tuelle, paralysĂ©s, rĂ©primandĂ©s pour tout et par tous. Ma sƓur Ă©tait parfois Ă©tonnĂ©e de la panique dans mes yeux Ă  la moindre chose qu’elle me demandait de faire. Et si c’était mal fait ? Allait-elle se fĂącher ? Me rĂ©primander ? Il m’a fallu beaucoup de temps pour me sentir en terrain non hostile. Je ne voulais pas que ma niĂšce vive cette expĂ©rience. Mes premiers questionnements rĂ©els sur mon enfance et sur les enfants en gĂ©nĂ©ral me sont venus au contact de ma niĂšce. J’ai par exemple remarquĂ© que j’étais la vigilance sur pied. Je faisais Ă©voluer cette enfant dans un environnement aseptisĂ©. Rien de nĂ©gatif ne devait lui arriver. Elle ne devait ĂȘtre au contact de rien de mauvais. Elle ne devait souffrir de rien. Je goĂ»tais sa nourriture avant qu’elle ne mange. Je marchais derriĂšre elle pour qu’elle ne tombe pas et ne se fasse pas mal. Je scannais chaque endroit oĂč nous nous rendions au point oĂč je connaissais par cƓur quasiment toutes les sorties de secours des coins que nous frĂ©quentions. Je refusais qu’on mange dans des restaurants oĂč les chaises n’étaient pas adaptĂ©es pour elle selon mes standards. Je prĂ©fĂ©rais la porter plutĂŽt qu’elle ne marche parce que
 on ne sait jamais. Et ça ce n’était que le bout visible de l’iceberg. Mais j’avais une autre face, celle-lĂ  bien plus effrayante. J’étais d’une sĂ©vĂ©ritĂ© inqualifiable. Je ne tolĂ©rais pas les bĂȘtises et ce que je jugeais ĂȘtre de la stupiditĂ©. Il Ă©tait hors de question qu’elle n’enregistre pas une directive la premiĂšre fois qu’elle Ă©tait formulĂ©e. J’entrais dans des colĂšres noires quand elle reproduisait les mĂȘmes fautes. Ma sƓur me le faisait remarquer mais je ne voyais pas oĂč Ă©tait le mal. La vĂ©ritĂ© ? Je n’avais pas connu autre chose. Je reproduisais l’environnement dans lequel j’avais vĂ©cu tout en le combattant. J’étais le bourreau protecteur. Je ne voulais pas qu’elle subisse les mĂȘmes traumatismes, je la protĂ©geais de l’extĂ©rieur. Je n’avais pas rĂ©alisĂ© que j’étais la potentielle plus grande source de traumatisme. Le diable ne rodait pas autour de la maison. Il Ă©tait dans la maison. La premiĂšre chose que j’ai remarquĂ©e et qui m’a violemment frappĂ©e a Ă©tĂ© la joie sur le visage de ma niĂšce chaque fois qu’un de ses parents passait la porte d’entrĂ©e. C’était une vĂ©ritable fĂȘte. Leur prĂ©sence la comblait. Elle adorait les avoir prĂšs d’elle. A mon Ă©poque, le retour d’un parent ou d’un aĂźnĂ© Ă©tait source de grand stress. Les pires scĂ©narios Ă©taient imaginĂ©s. En 3 secondes nous scannions en 3D la maison entiĂšre, faisant appel Ă  notre mĂ©moire pour nous rappeler exactement oĂč est quoi est qu’est-ce qui n’est pas Ă  sa place. Nous aurions dĂ» tous ĂȘtre brillants en technologie au collĂšge, car la vue d’en haut, d’en bas ou de cĂŽtĂ© n’avait aucun secret pour nous. MalgrĂ© notre enfance, ma sƓur avait rĂ©ussi Ă  faire de ses retours Ă  la maison des moments de fĂȘte. Comment ? A ses yeux son enfant n’était pas un enfant, un ĂȘtre soumis et sans volontĂ©. Elle lui demandait son avis, et ce dĂšs l’ñge de 2 ans. Un enfant ça a des avis !!!!! Je tombais des nues. Elle avait le droit de dire non, ou je ne veux pas. Dans quel monde ? Au dĂ©part, j’avais la certitude que ma sƓur raterait l’éducation de ses enfants. Un enfant ça se gronde, ça se punit, ça se bastonne. Tout est imposĂ© Ă  un enfant. Il n’a rien Ă  dire. C’est la norme. C’est comme ça. J’ai vĂ©cu comme ça. Rien ne pouvait ĂȘtre diffĂ©rent. Puis j’ai commencĂ© Ă  repenser Ă  mon enfance et Ă  tout ce qui m’avait Ă©tĂ© imposĂ©. Manger quand on n’a pas faim. Manger ce qu’on dĂ©teste. Finir son assiette alors qu’on est proche du vomissement tellement l’estomac est plein. Aller Ă  des fĂȘtes oĂč on ne connait personne parce que le parent a promis Ă  un collĂšgue qu’on n’a jamais vu qu’on serait Ă  l’anniversaire de son enfant. Vivre cette gĂȘne et ces regards de gens qui ne savent pas exactement ce que vous faites-lĂ . Ne pas oser dire non pour ne pas dĂ©clencher fureur, tonnerre et Ă©clair. Ne pas oser avoir un avis parce qu’il sera trĂšs certainement idiot et donc mal accueilli. S’effacer au maximum, vouloir disparaĂźtre pour un environnement plus paisible. Question en quoi ceci est diffĂ©rent de la situation psychologique d’une femme battue ? Quelqu’un a-t-il seulement pensĂ© que les bourreaux dans les mĂ©nages peuvent ĂȘtre créés par l’environnement dans lequel ils ont baignĂ©s, qu’ils ne sont pas nĂ©s ainsi ? Je n’ai jamais battu ma niĂšce. Je l’ai frappĂ©e une fois, sur la paume des mains, avec une spatule. Elle devait avoir 5 ans. J’aurais pu lui faire comprendre sa faute autrement. Aujourd’hui elle a 7 ans. Pour moi elle est autant un enfant qu’un adulte. Je ne lui impose rien. Une fois je lui ai demandĂ© quand est-ce qu’on pourrait dĂ©jeuner ensemble. Elle m’a dit qu’elle Ă©tait trĂšs prise par ses activitĂ©s, elle me reviendrait. J’ai sursautĂ©. Puis je me suis souvenue que moi aussi, mes dĂ©jeuners tournent autour de mon agenda. Alors pourquoi ce serait diffĂ©rent pour elle ? Je suis celle qu’elle appelle quand elle a des questions existentielles » Ă  poser. Qui a créé Dieu ? Pourquoi le monde est ainsi fait ? Pourquoi il y a des pauvres et des riches ? Je l’observe et je remarque les choses qui pourraient lui ĂȘtre utiles mais qu’elle n’aime pas ou qu’elle n’arrive pas Ă  faire. Je rĂ©flĂ©chis Ă  la maniĂšre la plus simple et ludique pour elle d’y arriver, et je lui apprends Ă  appliquer cette mĂ©thode sans lui donner une impression d’obligation ou de lourdeur. Tout est simplicitĂ©. Tout est volontĂ©. Je lui achĂšte autant de livres qu’elle demande. Je lui apprends que l’accumulation de biens matĂ©riels n’est pas la meilleure façon de vivre. Je ne me limite pas Ă  mon savoir et Ă  mon statut de tante pour lui faire comprendre que ce que je dis est vrai ou vĂ©rifiĂ©. Je lui apporte des preuves, comme je l’aurais fait si je dĂ©fendais une thĂšse. Elle a le droit de douter. J’ai le devoir de lui apprendre au moyen de faits concrets. Ma niĂšce est trĂšs indĂ©pendante. Elle dit ce qu’elle pense et prend la parole en public. Elle a un style vestimentaire qui lui est propre et sait exactement ce qu’elle n’aime pas. Elle cultive sa personnalitĂ© et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle aime le fait d’ĂȘtre excellente, et elle l’est pour elle mĂȘme, pour le plaisir que ça lui procure, et non pour monnayer les rares compliments d’un parent ou de l’autre. Comme nous tous, elle a des dĂ©fauts. Elle rigole parfois des autres. Sachant la peine que ça fait d’ĂȘtre sujet de moquerie, je lui apprends qu’elle peut s’exprimer autrement. Blesser l’autre ne la grandit pas, au contraire. Comment se sentirait-elle si elle Ă©tait Ă  la place de cette personne ? A 7 ans, ma niĂšce a les attributs de la personne que je rĂȘvais d’ĂȘtre mais que je n’ai pas osĂ© matĂ©rialiser jusqu’à mes 27 ans. Elle a 20 ans d’avance sur moi. Comment est-ce possible ? Nous avons appris de notre environnement hostile. Nos parents nous ont Ă©levĂ©s selon les mĂ©thodes appliquĂ©es par leurs parents. Ils n’ont pas mal tournĂ©, et se sont certainement dit que ces mĂ©thodes Ă©taient les bonnes. Je tiens Ă  prĂ©ciser que comme nous, ils ont eu la mĂȘme pensĂ©e que ma sƓur il y a beaucoup de choses qu’ils ont subi de leurs parents qu’ils ne nous ont pas fait subir, car c’était trop cruel Ă  leurs yeux. Lorsque je prĂ©parais ce texte dans ma tĂȘte, une discussion m’est revenue, une discussion que j’ai eue avec Françoise et Nadia. A l’époque j’étais prĂȘte Ă  me suicider si je me savais enceinte. Les choses ont bien changĂ© depuis. Nadia nous parlait de sa fille qui avait Ă  l’époque 2 ans. Lorsque sa fille tombait et se faisait mal, pour la consoler la nounou frappait le sol de son pied. Si elle s’était heurtĂ©e Ă  quelque chose, la nounou donnait une tape Ă  cette chose en disant Ă  l’enfant qu’elle avait rendu la pareille, donc tout irait bien. Je ne voyais pas oĂč Ă©tait le problĂšme jusqu’à ce que Nadia dise ceci Je ne veux pas qu’on apprenne Ă  ma fille que le seul moyen de se sentir bien aprĂšs avoir eu mal, c’est de faire du mal, mĂȘme si c’est en reprĂ©sailles. » Ces gestes qui nous semblent si anodins s’inscrivent diffĂ©remment dans la tĂȘte des enfants. En rĂ©alitĂ© non. Ils s’inscrivent de la mĂȘme façon qu’ils se sont inscrits Ă  nous la violence devient normale. C’est le seul moyen de se faire respecter. C’est le seul moyen d’aller bien ou mieux dans certains cas. Françoise elle, a parlĂ© du refus du rejet de l’autre. Il n’y a dans sa maison rien qui soit pour les garçons et rien qui soit pour les filles. Pourquoi ? Pour ne pas apprendre Ă  ses enfants Ă  rejeter les attributs ou les activitĂ©s prĂ©tendument destinĂ©s Ă  l’autre sexe. Un garçon peut jouer Ă  la poupĂ©e, une fille peut jouer au pompier. Et ils peuvent le faire ensemble. Finies les rages folles du pĂšre lorsqu’il voit son fils s’amuser avec une Barbie ! Sommes-nous aujourd’hui trop laxistes, nous qui souhaitons effectuer un changement Ă  180° et Ă©lever nos enfants totalement diffĂ©remment ? Peut-ĂȘtre. Mais je dois avouer que lorsque je vois l’évolution de ma niĂšce sur certains points, je me dis que nous ne sommes pas dans l’erreur. N’ayant pas connu la terreur psychologique ou verbale, elle ne sait pas la reproduire. Si elle l’apprend plus tard, elle saura aisĂ©ment s’en dĂ©barrasser car cette terreur ne sera pas ancrĂ©e en elle. J’ai encore tellement Ă  dire sur le sujet, mais il est temps pour moi d’arrĂȘter d’écrire. Il fait bien trop chaud et tout ce dont j’ai envie c’est m’étendre et dormir. Je vous laisse Ă  vous le soin de poursuivre cette discussion. Partagez en commentaire vos points de vue sur la question. Comme vous le savez dĂ©jĂ , je rĂ©ponds Ă  absolument tous les commentaires reçus sur le blog. Photo Reddit PS peu de gens le savent, mais il est possible de surligner ou de rĂ©pondre Ă  des passages d’articles, comme c’est le cas sur Medium. Ce serait bien d’utiliser cette fonctionnalitĂ© pour que je sache quelles sont les parties du texte qui ont retenu votre attention. Et puis, il faut bien que mon argent serve Ă  quelque chose puisque j’ai payĂ© pour cette fonctionnalitĂ© ! Digressions n’a aucun compte sur les rĂ©seaux sociaux, une situation qui n’est pas prĂšs de changer. Pour vous tenir informĂ©s des activitĂ©s ici, abonnez-vous au blog, tout simplement. Je suis disponible par mail Ă  l’adresse mesdigressions et sur Instagram Ă  c_befoune. Je dĂ©chaĂźne l'humain Ă  travers mes Ă©crits. Digressions n'est pas sur les reseaux sociaux, alors abonnez-vous ! En cochant cette case, vous confirmez que vous acceptez que nous vous envoyions par mail les nouveaux articles publiĂ©s sur le blog et, occasionnellement, des dĂ©tails exclusifs sur les activitĂ©s autour de Digressions. Culture Anne Defraiteur Nicoleau, journaliste et Ă©crivaine nĂ©e en Belgique, quitte le Liban durant l'Ă©tĂ© 2006 pour y revenir dix ans plus tard avec un roman tĂ©moin de son coup de cƓur pour Beyrouth. OLJ / Par Cindy Zaher, le 11 novembre 2016 Ă  00h00 Un paysage plein de fraĂźcheur, d'ombre et de silence, une vue des Alpes prise du sein d'un lac de Suisse, voilĂ  Beyrouth par un temps calme. C'est l'Europe et l'Asie se fondant en molles caresses ; c'est pour tout pĂšlerin un peu lassĂ© du soleil et de la poussiĂšre, une oasis maritime. » VoilĂ  comment Ă©tait dĂ©crit le Liban par Nerval au XIXe siĂšcle. Les choses ont changĂ©. Certes, aujourd'hui, les immeubles encore trouĂ©s par la guerre pourraient nous faire penser au gruyĂšre, mais la petite Suisse du Moyen-Orient n'est plus. Le Liban et sa capitale restent nĂ©anmoins une vĂ©ritable source d'inspiration pour les auteurs Ă©trangers. Sorj Chalandon, Richard Millet, Emmanuel Villin, pour ne citer qu'eux, ont fait revivre Beyrouth dans la littĂ©rature du XXIe siĂšcle. Les rĂ©cits sur l'aprĂšs-guerre sont donc nombreux. Parmi eux, Palace CafĂ© *. Un coup de cƓurAnne Defraiteur Nicoleau, journaliste et Ă©crivaine nĂ©e en Belgique, quitte le Liban durant l'Ă©tĂ© 2006, aprĂšs y avoir vĂ©cu quatre ans. Elle publie cette annĂ©e son premier roman. Dans Palace CafĂ©, l'auteure a su trĂšs justement cerner la rĂ©alitĂ© libanaise d'aujourd'hui. Entre nostalgie, amour perdu, secret et non-dit, nous suivons le narrateur Antoine, de retour Ă  Beyrouth en 2003, aprĂšs un long exil en France. Quinze ans d'absence et rien ne m'avait manquĂ©, je le savais. Je n'aimais pas mon pays, c'Ă©tait honteux et aussi mĂ©prisable que de ne pas chĂ©rir ses parents. » Perdu dans son propre pays, Antoine revient au Liban pour voir son pĂšre malade mais surtout pour chercher des rĂ©ponses concernant la mort, dans des circonstances tragiques, de son pour le prix France-Liban 2016, Palace CafĂ© est le tĂ©moin du coup de cƓur de Anne Defraiteur Nicoleau pour Beyrouth. À dĂ©vorer absolument. *À signaler que l'auteure participe ce soir, au Salon du livre, Ă  une table ronde intitulĂ©e Beyrouth je te "Haime" » avec Jean Kassir, ValĂ©rie Cachard, Serge Yazigi et Tania Hadjithomas Mehanna modĂ©ratrice Ă  19h, Ă  l'Agora, Biel. Elle signera ensuite son roman Palace CafĂ© » sur le stand de Tamyras. Un paysage plein de fraĂźcheur, d'ombre et de silence, une vue des Alpes prise du sein d'un lac de Suisse, voilĂ  Beyrouth par un temps calme. C'est l'Europe et l'Asie se fondant en molles caresses ; c'est pour tout pĂšlerin un peu lassĂ© du soleil et de la poussiĂšre, une oasis maritime. » VoilĂ  comment Ă©tait dĂ©crit le Liban par Nerval au XIXe siĂšcle. Les choses ont changĂ©. Certes,... Petits mots pour dire je t'aime ! Je t'aime le jour, je t'aime la nuit, de tout mon coeur, a l'infini... JE T'AIME du lundi au dimanche ! La plus tendre des dĂ©clarations d'amour, pour tous les grands et les petits. Un message tres tendre pour un moment de partage. Mais me raconte pas d'histoires Tu sais bien, ce qui ne tourne pas rond Chez moi, ne m'en demande pas trop Tu sais bien, que les fĂȘlures sont profondes Sans moi, ne t'accroche pas si fort Si tu doutes, ne t'accroche pas si fort Si ça te coĂ»te, ne me laisse pas te quitter Alors que je suis sĂ»re de moi Je te donne tout ce que j'ai alors essaie de voir en moi que Je t'aime Mais je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime, du plus fort que je peux Je t'aime, et je fais de mon mieux MAIS JE T'AIME - Grand Corps Malade & Camille Lellouche Par le temps que je prends - Pour ne penser qu'Ă  toi - Par mes rĂȘves de jour - OĂč tu rĂšgnes en idole - ... - J'en dĂ©duis que je t'aime. Citation je t'aime de Charles Aznavour Je suis celui qui appelle... / Je t'aime / Je crie que je veux t'aimer, je t'aime / J'aimerai quiconque Marguertie Duras Citations, phrases cĂ©lĂšbres et paroles sur je t'aime Ah! Si je t'aimais, gĂ©missait-elle, comme je t'aimerais! Citation je t'aime de Yvan Audouard Je t'aime est sans nuances. Il supprime les explications, les amĂ©nagements, les degrĂ©s, les scrupules. Je t'aime en citation de Roland Barthes Ces robes folles sont l'emblĂšme De ton esprit bariolĂ©; Folle dont je suis affolĂ©, Je te hais autant que je t'aime ! Je t'aime en poĂšme de Charles Baudelaire Les enfants n'ont ni passĂ© ni avenir, et, ce qui ne nous arrive guĂšre, ils jouissent du prĂ©sent. je t'aime en paroles de Jean de La BruyĂšre Je t'aime en citations - Comment lui dire je t'aime ? en quelques mots Quand un chanteur met la main sur son coeur, cela veut dire d'ordinaire je t'aimerai toujours! je t'aime en citations de Charles BaudelaireJe t'aime - cette parole est la plus mystĂ©rieuse qui soit, la seule digne d'ĂȘtre commentĂ©e pendant des siĂšcles. Citation je t'aime de Christian BobinLes amoureux qui s'bĂ©cottent sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des Je t'aime» pathĂ©tiques Ont des p'tites gueule bien sympatiques. je t'aime en chanson de Georges BrassensEt, comme chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain Qu'importeront alors les rides du visage, Si les mĂȘmes rosiers parfument le chemin ? Je t'aime en poĂ©sie de Rosemonde GĂ©rardLes filles quand ça dit je t'aime», - C'est comme un second baptĂȘme, - Ca leur donne un coeur tout neuf, - Comme au sortir de son oeuf. Chanson pour dire je t'aime de Georges BrassensJe t'aime, tu m'aimes, on sĂšme. Citation j'aime de Maurice ChapelanJe t'aime non seulement pour ce que tu es mais pour ce que je suis quand nous sommes ensemble. Citation je t'aime de Roy CroftQuand on se dit je t'aime par amitiĂ© C'est presque la derniĂšre page Quand on se dit je t'aime un peu par pitiĂ© C'est comme la fin d'un bon voyage. Citations de Joe DassinIl y a tellement de façons diffĂ©rentes de dire Je t'aime» et de parler d'amour dans les chansons. CĂ©line DionDire je t'aime Ă  quelqu'un est peut-ĂȘtre la suprĂȘme priĂšre humaine. Georges DorLe front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin - Je te cherche par-delĂ  l'attente - Par-delĂ  moi-mĂȘme - Et je ne sais plus tant je t'aime - Lequel de nous deux est absent. PoĂšme Paul EluardSi tu m'aimais, et si je t'aimais, comme je t'aimerais! Paroles je t'aime de Paul GĂ©raldyCar, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage, - Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. Je t'aime par Rosemonde GĂ©rardLorsque je me tins devant toi, tel un miroir limpide, tes yeux plongĂšrent dans les miens et contemplĂšrent ton image. - Alors tu me dis Je t'aime.» - Mais en vĂ©ritĂ©, tu t'aimais en moi. Khalil GibranC'est parce que tu diffĂšres de moi que je t'aime; je n'aime en toi que ce qui diffĂšre de moi. AndrĂ© GideDepuis que je t'aime, ma solitude commence Ă  deux pas de toi. Jean GiraudouxIl y a une question dans je t'aime» - Qui demande et m'aimes-tu, toi?» Chanson je t'aime de Jean-Jacques GoldmanJe t'aime, c'est-Ă -dire que j'aime en toi la diffĂ©rence qui nous empĂȘche d'ĂȘtre diffĂ©rents. Citations de Roger JudrinJe t'aime pour toutes les femmes que je n'ai pas connues Je t'aime pour tous les temps oĂč je n'ai pas vĂ©cu PoĂšme je t'aime de Paul ÉluardJe t'aime pour aimer Je t'aime pour toutes les femmes que je n'aime pas Paul ÉluardJe t'aime pour ta sagesse qui n'est pas la mienne Pour la santĂ© Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion Pour ce coeur immortel que je ne dĂ©tiens pas Citations de Paul ÉluardCombien de fois jadis j'ai pu dire Je t'aime! Alors, avec grand soin, nous le recompterons. Nous nous ressouviendrons de mille choses, mĂȘme De petits riens exquis dont nous radoterons. Rosemonde GĂ©rardElle disait je t'aime et je disais je t'aime ! Elle disait toujours et je disais toujours ! Citations de Victor Hugo. Sans doute tu ne m'aimes pas comme je t'aime, je sais combien tu me trompas jusqu'Ă  l'extrĂȘme. Paul Verlaine Viens avec moi, lĂ  bas dans la prairie, Toi dont le coeur est pur ; Viens avec moi chercher la rĂȘverie Sous ce beau ciel d'azur. Jeune fille aux yeux noirs, oui, bien plus que moi-mĂȘme, O ! je t'aime, je t'aime. La paquerette Ă  l'aurore vermeille A fait sĂ©cher ses pleurs. Viens avec moi pour orner ta corbeille Des plus tendres couleurs. Jeune fille aux yeux noirs, oui, bien plus que moi-mĂȘme, O ! je t'aime, je t'aime. Sous cet ormeau le rossignol qui chante Voudrait nous retenir, Quels doux accents, il parle Ă  son amante, Ah ! c'est pour l'attendrir. Jeune fille aux yeux noirs, oui, bien plus que moi-mĂȘme, O ! je t'aime, je t'aime. Ainsi que lui, que ma lĂšvre brĂ»lante T'exprime mes amours. Je touche aux plis de ta robe flottante Et te dirai toujours Jeune fille aux yeux noirs, oui, bien plus que moi-mĂȘme, O ! je t'aime, je t'aime. Un doux baiser sur ta lĂšvre si rose ? Ne montre point d'aigreur. S'aimer, le dire... est une sainte chose Qui ne porte point malheur. Jeune fille aux yeux noirs, oui, bien plus que moi-mĂȘme, O ! je t'aime, je t'aime. En lien avec je t'aime Citations bonne annĂ©e Citations NoĂȘl Citations naissance Citations fĂȘte des mĂšres Citations fĂȘte des pĂšres Citations Saint Valentin Proverbe mariage Citations mariage Proverbe bonheur ainsi que les citations et proverbes sur aimer, les citations courtes sur aimer et les citations sur aimer

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